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Welcome to the website of the Council of Elders of Israeli Democracy.

This blog, still in its embryonic stage, aims to be a rallying point for an independent collective of committed citizens, thinkers, researchers, writers and former public officials united around a common conviction:

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Cette tribune s’inscrit dans un espace d’expression libre ouvert à des contributeurs extérieurs. Les propos tenus n’engagent pas le Conseil, mais témoignent de la diversité des regards portés sur les enjeux démocratiques contemporains. Ils sont publiés ici pour nourrir le débat, provoquer la réflexion et élargir le champ de conscience collective.

On ne négocie pas avec ceux qui veulent ta disparition!

On entend dire ici ou là : « Il faut bien négocier avec ses ennemis. »
Mais que se passe-t-il lorsque l’ennemi ne vous reconnaît même pas comme un être humain ? Quand il a été élevé dans l’idée que votre mort est une obligation divine ? Quand son rêve n’est pas une paix, mais votre disparition du monde ?

Je le dis simplement avec mes mots,on ne négocie pas avec une idéologie de mort!

Depuis des décennies, les islamistes du Hamas, les ayatollahs iraniens, le Jihad islamique, et leurs relais dans les mosquées radicalisées ou les manuels scolaires de Gaza, inculquent la haine du Juif, la négation d’Israël, la glorification du martyr.

Ils ne veulent pas une coexistence.
Ils ne veulent pas un compromis sur Jérusalem ou sur un corridor humanitaire.
Ils veulent effacer tout bonnement Israël de la carte, et avec lui, tout ce que représente le peuple juif
la mémoire, la loi, la conscience, la vie.

Ceux qui ne veulent pas la paix

C’est là la vérité que l’Occident malheureusement refuse de regarder.
Le Hamas n’est pas un acteur politique. C’est un groupe terroriste dont la charte fondatrice appelle à la destruction d’Israël. Ce n’est pas une accusation , c’est un fait.
Alors quand la France et Macron parle aujourd’hui de reconnaître un État palestinien sans poser comme préalable le désarmement du Hamas, le retour des otages, la reconnaissance du droit d’Israël à exister !
je me demande avec qui croit-on faire la paix ?

Il faut le dire sans détour :
Ce ne sont pas les frontières de 1967 qui sont en jeu, mais l’existence même d’Israël.
Et c’est inscrit dans les prêches, les discours officiels, les dessins animés diffusés aux enfants, les slogans scandés dans les rues de Gaza, de Téhéran ou de certaines banlieues de Paris.

Et pourtant… il existe un autre peuple

Oui, un peuple palestinien existe, blessé, instrumentalisé, pris en otage par des groupes criminels et par des gouvernements corrompus.
Mais ce peuple ne pourra jamais se relever tant qu’il sera dirigé par ceux qui les dirigent et qui rêvent de guerre.

La seule paix possible passera par :
• Une désislamisation radicale de l’idéologie politique palestinienne ;
• La protection d’Israël comme État-nation juif légitime et non négociable ;
• Le soutien aux voix arabes courageuses qui émergent çà et là pour dire : nous ne voulons plus vivre dans la haine.

Pour conclure : lucidité et vigilance

Je n’écris pas cela par colère.
Je l’écris par amour du réel, et pour protéger la paix à venir.

La paix ne se décrète pas.
Elle se prépare avec des hommes et des femmes de bonne volonté, pas avec des fanatiques, ni avec ceux qui lisent dans leurs textes sacrés une incitation à tuer.

Aujourd’hui, les enfants israéliens dorment dans des bunkers.
Les enfants de Gaza sont élevés dans des camps militaires.
Et pendant ce temps, à Paris ou à Bruxelles, certains imaginent encore que deux signatures suffiront à guérir 75 ans de guerre.

Réveillons-nous.
Et réveillons les consciences autour de nous.

Ce n’est pas en dialoguant avec ceux qui prêchent la mort que nous sauverons la vie…

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